« Gwak Hwan Jae»Feat. Song Seung Hyun [FT.Island].• Identity:Age: 19ansNationalité: CoréenneOrientation: GayGroupe: So naive.Poste vacant: Oui [] Non [X]• We need to know:I wanna be: Hwan Jae a une vie assez tranquille… Ce qu’il aime, c’est se diversifier pour ne pas s’ennuyer ! C’est pour cela que vous le retrouverez la journée en tant qu’assistant en pharmacie tout ce qu’il a de plus respectable et le soir dans un bar en train de chanter et jouer de la guitare (et souvent, il travaille aussi au bar pour aider le gérant). Il aime les contrastes et étonner les gens. Néanmoins, contrairement à la plupart des « artistes du soir », il ne prétend pas à une future carrière, ce serait ennuyant. Il ne se voit pas faire que cela, il lui faut un métier à côté pour que la musique reste un plaisir un non pas un travail. Une mélodie étrange et quelques phrases incrustées à tout jamais dans sa mémoire, voilà les seules choses que sa mère a laissé à Hwan Jae. Pas qu’elle soit morte tôt, pas qu’elle l’ait abandonné devant la porte d’illustres inconnus alors qu’il était bébé ! Non, bien sûre que non ! Ce ne fût pas le cas dans la famille Gwak. Non, juste que madame Gwak Ah Soo a préféré se concentrer sur sa carrière et sa richesse que ses deux fils. Encore une fois, ne vous trompez pas ! Elle n’était pas le genre de personne avare et pincée ! C’était plutôt le contraire ! Elle courait de pays en pays pour faire des actions humanitaire, trouvant cela certainement plus passionnant que jouer à la mère. Mais, richesse aidant, les deux garçons n’ont jamais manqué d’encadrement grâce à leurs nombreux tuteurs, autrement dit, nounous. Son passe-temps favoris pendant son enfance était de faire peur aux gens, les provoquer jusqu’à ce qu’ils craquent. Au fil du temps, il avait fait des bordures de toits son endroit préféré, des aiguilles, ses sucreries et du feu son jouet… Personne n’osait vraiment lui poser des limites, alors autant en profiter, non ? Grâce à ses nombreuses bêtises, il arrivait à attirer l’attention des gens, ne serait-ce qu’un instant et cela lui convenait. Sauf que les années passaient et il prenait de plus en plus confiance en lui, donc, naturellement, ces frasques devenaient de plus en plus dangereuses. Il est arrivé à l’apothéose de son œuvre un fameux jour de sa onzième année, sa mère était exceptionnellement à la maison mais ne s’occupait pas vraiment de lui… Il a prit des papiers importants de sa mère, profondément fâché de son inattention et à décidé de les brûler, tout simplement. Ce n’était pas sa première expérience avec le feu, après tout. Il a savamment déverser de l’essence et des produits inflammables puis une unique allumette a suffit. La pièce entière a pris feu sous ses yeux… Il voyait les flammes tout lécher sur leur passage… y compris sa peau… Le 35% de son dos fût brûler avant qu’il n’ait temps de fuir… Il en garde encore aujourd’hui de belles cicatrices qui le lancent encore parfois lorsqu’il se plonge dans ses souvenirs… Il en récolte également une phobie paralysante du feu et un dégout profond pour les hôpitaux où il a dût rester un bon bout de temps allongé sur le ventre.Deux ans après cela, sa mère est morte au Vietnam lors d’une de ses fameuses actions humanitaires. Elle avait fourré le nez là où il fallait pas, comme on dit. Encore aujourd’hui, on ose pas trop élever la voix lorsqu’on affirme que les causes de sa mort sont incertaines entre l’accident ou le complot… Hwan Jae ne veut rien entendre de tout cela. Il préfère s’intéresser à d’autres choses que ressasser ce passé. Malgré ses nombreuses « aventures » déconseillées à toutes personnes non-suicidaires, Hwan Jae était très bon à l’école. Il ravissait toujours son père avec ses excellentes notes et son classement de numéro un dans sa classe… ce qui faisait légèrement oublier ces stupidités de rebelles faites à côté, à son grand avantage. Son père n’était pas vraiment quelqu’un de compliqué et de sérieux, tout du moins dans l’éducation de ses deux fils. Tu ramènes des bonnes notes, c’est bon. Tu échoues à l’école, c’est à la limite du tolérable. La meilleure démonstration de ce concept fût très certainement au seize ans de Hwan Jae. Avec son frère aîné, âgé à l’époque de dix-neuf ans, ils ont décidé de faire le grand saut ensemble : avouer à leur père qu’ils étaient tous les deux gays. Ils avaient pensés que le faire simultanément serait le mieux… Ce qui n’avait pas pris en compte, c’était le fait que Hwan Jun n’ayant absolument pas de bonnes notes à sa nouvelle université, devrait arrêter les études… ce qui irritait déjà particulièrement leur père… Le résultat fût sans appel. Hwan Jae avait le droit de rester à la maison car « toi-même si on arrive pas à te remettre sur le droit chemin, tu ferras un bon fils avec ton futur métier ». Mais Hwan Jun n’était devenu qu’un « pauvre abruti désaxé des bases de la vie… irrécupérable ». C’est Hwan Jae, furibond et impulsif, qui cria qu’ils déménageaient tout en tirant sur le bras de son frère pour l’emmener faire leurs affaires. Leur père leur donna de l’argent. Beaucoup d’argent. « Tant que vous ne revenez pas dans mes pattes ». C’est à ce moment-là qu’il comprit enfin quel genre d’homme était son père et cela a profondément choqué Hwan Jae. Il a prit l’argent sans se gêner et finalement, avec Jun, ils louèrent un petit appartement en ville. Grand changement de vie ! Même sur les papiers, leur père était toujours leur tuteur légal, leur style de vie changea complètement et ils se sentaient enfin libres ! Ensuite, son frère a stoppé ses études, ouvert un nouveau bar très branché avec l’argent de leur paternel avec son petit ami du moment : Hoon Ki. Lui a continué son école et maintenant, il est devenu assistant en pharmacie… Une belle vie pleine de liberté quoi ~ Jusqu’au jour où son frère a eu envie d’encore plus de liberté et il est parti faire un voyage autour de la Terre… après avoir plaqué Hoon Ki, ce que Hwan Jae n’a jamais vraiment compris. Trouvant cela injuste, il a commencé à aider Hoon Ki au bar puis un jour il est monté sur la petite scène de l’établissement pour chanter, un véritable plaisir qu’il recommence plusieurs fois par semaine désormais.I can be sweet: Hwan Jae est le genre de gars qui sourira tout le temps, qu’il ai mal ou qu’il soit heureux. Non, en fait, pour être franc, il y a un seul moment « publique » ou il se permet à laisser tomber son sourire, c’est lorsqu’il chante et joue de la guitare. Il ne vous montrera pas lorsqu’il a mal, il est intolérant envers sa propre faiblesse, contrairement à celles des autres qu’il accepte sans avec le sourire. C’est un éternel insatisfait qui trouvera toujours à redire sur lui-même. Il a l’étrange capacité de pouvoir transformer des qualités en défaut. Vous trouvez que quelqu’un de souriant est quelqu’un de sympathique ? Et bien Hwan Jae peut vous prouvez que sourire ne veut pas dire être heureux ! Il y a des tas de sortes différentes de sourires, après tout… et on a tendance à l’oublier. Ce côté de sa personnalité le rend vraiment hypocrite aux yeux des gens.En général, vous verrez Hwan Jae souriant, joyeux et très énergique voir trop. Il aime se donner à fond dans ce qu’il fait, même s’il faut avouer qu’il a un sérieux manque de concentration… De plus, il est extrêmement bavard ce qui peut effrayer certaine personne. Allons, continuons sur la lancée… Il est également bordélique, impatient, naïf, impulsif, inattentif et stupide. Le tout réuni, essayez d’imaginer… cela dans une pharmacie… Enfin, non, lorsqu’il travaille, il laisse de son aspect irraisonnable, irresponsable dans un coin de son esprit, ce qui le rend efficace. Et heureusement ! Dommage, d’ailleurs, qu’il n’applique pas cela dans sa vie de tous les jours, cela pourrait lui être très utile. Même si cela fait de nombreuses années depuis son accident avec le feu, il n’a pas vraiment changé de caractère. Il est toujours aussi imprudent et irréfléchi dans son quotidien. Il se blesse à de nombreuses reprises, même si ce ne sont que de petites éraflures. Son trait rebelle ne s’est pas non plus beaucoup assagi avec le temps ! Il aime provoquer et faire réagir les gens. Il adore jouer avec cela. Le problème, c’est qu’il est trop peu méfiant envers les personnes qu’il taquine (et les autres aussi, d’ailleurs), ce qui lui cause souvent des torts par la suite. Rahh ! Tant d’ennuis qu’il aurait pu éviter sans son côté fouineur et trop direct ! Néanmoins, grâce à son côté farceur et joueur, il a réussi à attirer pas mal de monde à ses côtés… en plus de son charme séducteur… Car Hwan Jae aime beaucoup, beaucoup, flirter avec les filles comme les garçons – bien qu’il soit gay -. Il est avide d’affections envers son entourage et en recherche constamment. Cela le rend très extraverti et malheureusement aussi influençable envers ses proches… Il tolère nombreuses choses mais lorsqu’il devient rancunier, il l’est dans le 99% des cas, à vie. Il ne connaît pas vraiment la demi-mesure avec la confiance… I love it ! Or not : Sa grande phobie : le feu. Personne ne peut le faire approcher d’un feu sans avoir peur de coups et blessures graves… ou un inconscient dans les bras. Il n’y a qu’à voir les cicatrices dans son dos pour comprendre. Tout du moins, s’il accepte de vous les montrer… car c’est un peu comme un truc sacré chez lui. La moindre petite flamme, d’allumette ou de briquet peut le stresser à un point pas possible, même s’il fait le fier à première vue. Deuxième bizarrerie : il adore les légumes ainsi que tous pleins de trucs bizarres ou qui paraissent dégoûtants. Il serait capable de manger du ketchup avec de la confiture ou du wasabi avec de la moutarde… Bref, évitez de le regarder manger si vous tenez à votre santé mentale et intestinale, cela vaut mieux. Lui, de son côté, trouve cela parfaitement normal.Troisième bizarrerie, car jamais deux sans trois : c’est un collectionneur de chapeau et de chaussettes. Il en a tellement chez lui qu’il y a consacré une pièce entière emplie d’armoires… le tout en bordel… et oui, Hwan Jae n’est pas un champion de l’ordre, loin de là !A part cela, il aime, non, adore !, la musique ! Particulièrement le rock dont il ne peut s’en passer ! Il joue de la guitare et chante merveilleusement bien donc il ne s’en prive pas pour le faire partager au public plusieurs fois par semaine dans le bar branché de Hoon Ki. Ça fait de l’ambiance et il s’amuse, pourquoi hésiter ? Il écrit lui-même ses chansons et ses partitions mais il fait souvent des reprises, pour diversifier un peu son répertoire. • About you:Pseudo: KohaAge: Allez, j'avoue, finalement : 16ans et demiFréquence de connexion: 4/7 voir 6/7Où as-tu connu le forum? Par partenariatDouble compte? Je plaide coupable >.< ! J'ai pas pu m'en empêche, ça m'étonne moi-même... J'ai fait vite, très vite... [Ban Fu Min]. J'ai du temps à "perdre" et des idées à revendre ~Test RP: Spoiler:Qui verra que j'ai triché et que j'ai remis celui de l'autre fois ? ~Aoi était quelqu’un de très tactile avec les gens qu’il apprécie – enfin, les gens qu’il déteste aussi, mais dans ces cas-là, c’était moins doux – contrairement à la grande majorité des Japonais. Il avait pris cette habitude lors de ses années en Angleterre et en Allemagne et ne les avait gardé, au grand damne de certaines personnes gênées par cela. Chûya lui avait déjà dit et redit qu’il devait arrêter cela et se contenir… Mais même s’il adorait son frère et l’admirait beaucoup, Aoi n’était pas décidé à changer. Le sourire d’Aoi s’élargit un peu plus. Donc, l’inconnu était timide… Un bon point pour lui. Dans le 70% des cas, les timides étaient également naïfs… et les naïfs étaient faciles, très faciles à manipuler. Ils faisaient partis de ses jouets quotidiens lorsqu’il s’embêtait vraiment… sauf qu’au bout d’un moment, cela devenait trop facile et il commençait à s’ennuyer. Au final, il préférait les gens un peu plus imprévisible et compliqués à comprendre, c’était plus intéressant à piéger. Avec tout cela, Aoi en oubliait presqu’il n’était pas là pour manipuler ce gars dans le but de le blesser, de le mettre face à ses propres erreurs et sa bêtise ou même s’occuper. Non, il faisait parti des gens à manipuler différemment. Il devait le « convaincre » de devenir son ami, ou plus si affinités. Au final, si on y réfléchissait bien, Aoi était rarement sincère dans ses actes… Il n’était pas honnête et tous ses gestes étaient calculés à l’avance, minutieusement. Pour que les gens le voient comme il veut qu’ils les voient et pas autrement. Une mise en scène constante et parfois éprouvante pour lui-même. Cependant, il ne savait pas faire autrement. A force, il ne savait plus comment agir honnêtement et sans arrières pensées… sauf avec des gens comme Chûya ou Ryuku où là, il se laissait un peu « exister ». Mikio. Joli prénom, il devait l’avouer. Il convenait très bien à celui qui le portait, même s’il ne savait pas trop pourquoi. Donc, c’était aussi un première année… Vu sa taille, Aoi lui aurait donné plus, juste pour que son égo tienne le coup. Mais comme dit plus tôt, il était prêt à passer sur ce détail. Il avait d’autres projets que d’être rancunier envers mère nature. Il continua de sourire. Le sourire, une arme absolue. Ça envoûte les gens, c’est contagieux, gratuit et cela peut également être meurtrier dans certaines circonstances. En bref, tout un art qu’il avait appris à maîtriser au fil du temps. Tout d’abord pour que les Mamies du quartier lui offre quelques sucreries et ensuite pour que les profs pervers et un peu pédophile veuillent bien oublier ces quelques écarts au niveau du comportement. Il ne faut pas croire que la manipulation s’apprend en un jour. Tout d’abord, il devait tester Mikio, connaître ses limites, décortiquer ses croyances,… pour savoir quand, où et comment attaquer, tel un fauve face à sa proie. Pendant une seconde, il se demanda s’il ne devait pas oublier toutes ses techniques, juste pour une fois, et tenter de faire à l’instinct, naturellement, comme toutes personnes normales. Néanmoins, il chassa bien vite cette idée. Il n’avait pas confiance en ses compétences dans ce domaine-là. Il était nul, novice… nu. Il n’était pas prêt à passer cette étape et ne le serait certainement jamais. Il avait peur que Mikio lui échappe. Ce serait une perte énorme. Non, décidément, sa méthode traditionnelle était plus sûre et plus confortable. Il n’aimait pas les surprises et les imprévus.Mikio était gentil, timide et peu sûr de lui. Cela se voyait, son aura dégageait tout cela. Aoi, lui, était tout le contraire même si ce n’était visible à première vue. La gentillesse, il ne connaissait pas ou qu’à peine avec Chûya… mais pour arriver à ce maigre résultat, son frère aîné avait dû faire pression sur lui pendant plus de douze longues années. Personne ne risquait pouvoir arriver au même point. La gentillesse d’Aoi, c’était juste des faux-semblants pour parfaire son ou ses rôles. Comme les sourires. Voilà une preuve de ce qu’il affirmait. Mikio était si gentil, prévenant, qu’il le questionnait sur l’état de ses dessins. Pauvre chose, s’il savait dans quel filet d’araignée il s’était enlisé rien qu’en croisant le chemin de l’Akai… Il aurait dû fuir pendant qu’il en était encore temps, avant qu’Aoi décide d’en faire un de ses proches. Car ses proches avaient souvent la vie dure. De toute façon, traîner avec un Shikei n’avait jamais rien de bon. Il fit mine de contrôler rapidement ses croquis en entrouvrant son grand cartable mais il savait d’avance que c’était ok. Il devrait remercier son frère de lui avoir acheter une si bonne qualité de papier, sans ça, ils étaient foutus. Il hocha frénétiquement de la tête pour faire signe que tout allait bien. Ses cheveux dégoulinants giclèrent un peu aux alentours. Il tendit le bras en direction de Mikio pour décoller une de ses mèches de son visage. Un geste assez intime… Premier test. Ses doigts frôlèrent délicatement la peau du jeune homme. Il reprit son sourire, comme pour s’excuser de son geste et se recula pour essorer le mieux qu’il pouvait son t-shirt violet. Le rhume pointait le bout de son nez. Il s’assit ensuite tranquillement contre le mur du bâtiment, les jambes tendues devant lui à la limite de la pluie. Il espérait que la pluie, désormais torrentielle, rebuterait Mikio à s’en aller tout de suite. Au pire, Aoi avait confiance en sa capacité de traque. Il le retrouverait.