« Kang Sacha »Feat. Son Dong Woon.• Identity:Age: 19 ansNationalité: Coréenne et Russe. Orientation: Homosexuel. Groupe: Something Else.Poste vacant: Oui [] Non [X]• We need to know:I wanna be: Ce que j’aimerais changer … Tout. Mais rien en même temps. Je – ou plutôt mon moi futur qui ne sera certainement plus – vivais dans le luxe et l’opulence. J’avais réussi là où d’autres avaient échoué. J’étais devenu une star, j’étais devenu quelqu’un. Quelqu’un, car tout au long de ma vie, je n’avais été personne. Je n’avais jamais réussi à me forger un caractère digne de ce nom, étouffé par mes complexes et mon pessimisme. Je ne voulais plus voir le monde. Je voulais juste m’allonger sur mon lit et me laisser mourir à petit feu. Si je devais changer quelque chose, ce serait sans l’ombre d’un doute cette personnalité qui m’aura tenu reclus loin des autres. Au bout de ces milliards de moqueries, je n’avais pas réussi à m’endurcir. Au contraire, je n’étais incapable de rien. J’étais le mec du lycée à qui le gars populaire donne toutes ses petites besognes ridicules et avilissantes. J’étais celui qu’on faisait tomber, juste pour avoir le plaisir de se moquer de moi par la suite. J’aurais aimé être plus fort depuis le départ. J’aurais aimé être en mesure de me relever, de répondre à tout ceux qui avaient osé me descendre plus bas que terre. J’aurais aimé être capable d’avouer mes tendances homosexuelles, que même dans mon « ancienne vie future », je n’avais pas réussi à assumer. J'étais juste bon à assumer celles de ces gays refoulés, qui se servait de mon joli fessier coomme bon leur semblait; il savait très bien que jamais, moi, petite chose sans cervelle, n'oserait leur faire du tort. J’aurais voulu être plus libre. J’aurais voulu ne pas avoir peur de penser, ne pas avoir peur de m’exprimer. Mais … Si je changeais les choses, arriverai-je à acquérir de nouveau tout le succès que j’avais si durement gagné ? Ne deviendrais-je pas un « monsieur tout le monde » sans le moindre intérêt ? La gloire m’usait. Avant de la connaître, je la voyais comme quelque chose de beau et de magique, en omettant toutes ses parts d’ombre. En la découvrant, je m’étais simplement retrouvé dans l’incapacité de m’en dépêtre. Cependant … J’avais pris goût à être reconnu dans la rue, à ne recevoir que des sourires de la part des autres … Je voulais changer des choses, mais des choses incompatibles. Car à part ça, je ne désirais rien du tout. Pas de cœur à capturer, pas d’amis à garder. Rien. Juste des réveillons en solitaire, avec ma grand-mère à moitié aveugle. Et c’est moi qui me suis senti fou lorsque, trois ans après sa mort, je l’entendais en bas de sa vieille maison en bois, en train de me crier de prendre mon petit déjeuner. Comment ai-je pu me retrouver dans mon lit d’adolescent alors que quelques heures auparavant, j’étais encore en train de me demander quel nouveau pays j'allais découvrir ? Peut-être est-ce un rêve, une manifestation divine … A moi de voir si je veux saisir cette chance, ou non. I can be sweet: « Qui suis-je ? ». Une question qui, chaque matin, me revenait en tête alors que je me voyais là, dans ce miroir. Je n’avais rien d’exceptionnel. Depuis tout petit, j’aimais caresser les gens dans le sens du poil. Engendrer des scandales, des disputes et d’autres choses bien joyeuses, ce n’était pas vraiment dans mon intérêt. Sans volontairement chercher à me cacher au fond d’un trou, je n’aimais pas qu’on fasse attention à moi. Car à chaque fois que cela arrivait, j’avais des ennuis. Depuis une crise d’asthme que j’avais eu au lycée, beaucoup avait pris plaisir à utiliser ma faiblesse pour me soutirer des choses. Je n’étais pas victime de racket mais, j’étais un petit larbin soumis. Cela créa chez moi une angoisse lancinante et dévorante. « Que va-t-il m’arriver encore en allant en cours aujourd’hui ? Qui jouera le rôle de bourreau cette fois-ci ? Quel ami vais-je encore perdre, celui-ci ayant peur de s’attirer les foudres de gens trop forts pour lui ? ». Tant de questions que je me posais, cultivant sans m’en rendre compte ma crainte. Tout en moi se faisait violer. Pour ça, j’eus le droit à encore un bon nombre de sobriquets. Pas que je n’étais pas consentent mais … Je pensais juste qu’en me laissant faire, je souffrirai peut-être moins. Et en ce qui concerne l’amour … Autant dire que je n’avais jamais été très convaincu. Le peu de fois où je tombais amoureux, je n’osais jamais me déclarer, observant l’élu de mon cœur, de loin. Adepte de plaisirs solitaires, j’étais plutôt de ceux qui regardaient un bon film porno ou un magasine X pour se soulager. Personne n’était là pour m’étreindre la nuit, avec amour. Car les fois où cela m’arrivait, c’était « par défaut ». Sans rien, juste pour contenter l’autre, pas moi. J’exauçais les vœux de tout le monde, encore à cause de cette même histoire. Le plus étrange dans tout ça, c’était que je le vivais plutôt bien. Je continuais à sourire au monde, à essayer de vivre ma vie. J’étais naïf, et pas vraiment rancunier ; malgré tout ce que j’avais pu subir, aucun désir de vengeance n’avait effleuré mon esprit. Beaucoup n’auraient pas hésité à laisser toutes ces personnes horribles mourir au fond d’un trou, moi, quand bien même je savais que j’allais souffrir encore, je leur venais en aide, coûte que coûte. Masochiste ? Peut-être, qui sait … Maintenant que je suis revenu à cette époque de ma vie, serais-je encore le même ? Si j’avais changé, en devenant adulte, c’était parce que j’avais trouvé un travail, j’avais trouvé la renommée. Ma confiance en moi, elle était venue avec ma position. Je me savais protégé. Mais là … Je ne sais pas. Je ne sais vraiment pas.I love it ! Or not : Ce que j’aime … Ce n’est pas bien compliqué. Bien qu’ils ne soient qu’amateurs, mes parents m’avaient transmis une passion certaine pour la musique. Je n’étais pas un grand chanteur mais à ma manière, je pense que je pouvais émouvoir les gens, une guitare à la main. C’était bien la seule et unique chose pour laquelle j’étais doué. J’appréciais traîner dans le métro, à jouer de la musique pour ces gens qui ne m’écoutaient ni ne me voyaient. Je me contentais de peu de choses. J’aimais traîner dans les bars, la nuit. Je ne cherchais pas à étancher une soif inexistante ; je voulais juste rester là, assis, à contempler ce mec qui avait l’alcool triste, ou encore ce couple qui rigolait au fond de la salle. J’aimais les choses sans importances, ces petits moments de bonheur qui égaillent notre quotidien. A cette époque, je ne cherchais ni le luxe ni la gloire, juste à vivre tranquille. Au-delà de ma peur d’être blessé – qui ne faisait pas de moi quelqu’un de timide, attention – j’aimais beaucoup rencontrer les gens. Quelle personnalité paradoxale, je sais. Les trois-quarts du temps, mes nouvelles relations se soldaient par des échecs. J’aimais parler aux gens, et découvrir chez eux des facettes que j’aurais voulu avoir chez moi. Peut-être est-ce pour cela que j’étais devenu un acteur dans mon « ex » futur, cherchant à faire renaître ces traits de personnalités qui me plaisaient tant chez les autres. Un véritable altruiste. Et pour me rendre un peu normal, quand même, autant souligner que j’aimais bien m’habiller, bien que la majorité de ma garde-robe ressortait de quelques magasins louches, mais qui cassaient bien les prix. En matière d’hommes – parce qu’on aura bien compris que j’ai fait une croix sur la gente féminine – je n’ai pas vraiment de préférence. Cela se fait « au feeling », tout simplement. • About you:Pseudo: NominoAge: 16 ansFréquence de connexion: 7j/7, moins pour RP : /Où as-tu connu le forum? Par Stone ♥ Double compte? Nope ^__^Test RP: Spoiler:« Céder à la panique » n’entrait pas, pour ainsi dire, dans le vocabulaire de Dong Soo. Derrière ses blagues foireuses et son humour à balancer à la poubelle, il faisait mine de rien, preuve de sang-froid, sachant parfaitement gérer les situations les plus périlleuses. Bon, il les gérait à sa manière certes, mais il les gérait quand même quoi. Mais là. Pendant que Su Hee réfléchissait à un pourquoi du comment persuader le jaune, ce dernier se retenait à peine de se ronger les ongles. Il était tracassé ce qui était en soit, assez exceptionnel. Beaucoup aurait donné de leur argent pour voir ça au moins une fois dans leur vie. Le yunikon ne s’en rendait certainement pas compte, mais Dong Soo lui faisait à ce moment même une énorme « fleur » : il lui offrait le privilège de le voir dans une fébrilité qu’il ne montrait jamais. S’il ne se montrait parfois pas aussi gay, Dong Soo aurait pu être un parfait macho. Un dur, un vrai de vrai ! Qui se transformait en un véritable crustacé face à son fidèle compère … Ce qu’il dit par contre, eut le don de le faire sourire. Cela ne relevait pas d’un esprit mal tourné mais, bizarrement, Dong Soo n’avait pas pu s’empêcher de trouver la phrase de Su Hee « pute ». Pas qu’il considérait Su Hee comme une pute, loin de là mais le « je ne couche pas avec des gens dont je suis amoureux » ou il ne savait quelle phrase il avait prononcée, lui donnait la vague impression que Su Hee ne faisait que ça, coucher. Néanmoins, le yongwang ne souligna pas cette pensée malvenue. Déjà que Su Hee n’était pas de la plus gracieuse des humeurs, ce n’était vraiment pas le moment de le contrarier, n’est-ce pas ? Et puis … Mine de rien, ce que le petit yunikon dit lui arracha une grimace aussi brève que douloureuse. Su Hee lui avait déjà très bien fait comprendre qu’il ne le considérait pas comme un ami. Dong Soo n’allait pas chercher l’affection des gens ; enfin, il ne les forçait pas à l’aimer. Mais … Entendre ça de la bouche de quelqu’un que l’on apprécie, ce n’est jamais facile non ? Même si le but n’était pas de le blesser, mais plutôt de le calmer ou quoique ce soit d’autre, le yongwang aurait préféré pour une fois, être confronté à un énième silence de la part de son homologue. Cependant, Dong Soo se contenta de hausser les épaules, plus pour se résigner « dans sa tête » que pour répondre sincèrement à Su Hee. De toute manière, il pouvait penser ce qu’il voulait, ça n’allait pas changer grandement le cours de son existence, non ? Et puis, comme le turquoise l’avait dit lui-même, ils n’avaient aucune raison de céder, de perdre le contrôle. Dong Soo serait bientôt un adulte en plus. Enfin, en omettant que dans la tête, c’était encore mentalité trois ans … Il regarda Su Hee trois secondes, le temps qu’il prenne l’essence dans sa main, avant de baisser la tête vers ses tennis, sans raison particulière.Son magnifique panorama fut anéanti par l’arrivée subite et inopinée d’une masse non identifiée en plein la figure. Il fronça les sourcils, puis ramassa ladite masse avant qu’elle ne s’écrase au sol. Ah, le pull … Le pull ? Dong Soo releva brusquement la tête, remarquant subitement que Su Hee était torse nu, et ce, depuis un moment déjà. Ah oui … Une gêne étrange s’empara du jaune. Des mecs, ou même des filles d’ailleurs, à demi-poil – et à poil tout court en fait – il en avait eu un petit nombre fort raisonnable quand même, en omettant les quelques mâles à poil à la fin du sport, mais lorsqu’il voyait Su Hee … Une impression, même pas un sentiment ou une émotion, étrange s’emparait de lui. L’espace d’un instant, il détourna le regard, encore, jusqu’à ce que le yunikon ne se relève, quelque peu exaspéré, semblerait-il. La première partie de son discours, Dong Soo l’écouta, l’air d’un adolescent blasé face aux réprimandes de ses parents. L’attitude était assez mal venue, lorsqu’on savait toutes les simagrées qu’il avait faites jusque là. La deuxième partie quant à elle, l’inquiéta un tantinet. Il fixa Su Hee, éberlué. Cette optique de vie ne lui plaisait en effet pas beaucoup beaucoup. A la limite, si c’était Su Hee l’attaché, pourquoi pas ? Oui bon, ok. Dong Soo poussa un long soupir, avant de se retourner, comme pour signifier qu’il était enfin d’accord, qu’ils pouvaient passer « aux choses sérieuses », pour avancer, enfin.Au bout de quelques secondes, jugeant que le turquoise avait enfin fini de déposer sa fichue goutte quelque part sur lui-même, Dong Soo se retourna une nouvelle fois, plus ou moins prêt à affronter ce qui l’attendait. Il avait qu’à s’imaginer en train de lécher une glace à la pistache, sur laquelle un petit bout de vanille s’était posé en intrus. Il s’approcha de Su Hee et posa une main sur son épaule, le forçant doucement à s’assoir sur le lit. « Qu’est-ce que tu ne m’auras pas fait faire toi, franchement. Bourreau de mes deux. » Il sourit, l’air concupiscent. Bien. On voulait que Dong Soo soit no limit c’est ça ? Et bah, no limitons. Il donna une tape dans la cuisse de Su Hee et se pencha sur lui, décidant qu’allongé, son affaire serait beaucoup plus aisée. Le jaune était partagé entre l’appréhension, le désir d’en finir vite et celui de se venger. Après tout, Su Hee voulait être léché n’est-ce pas ? Et bien, Dong Soo ne voyait plus pourquoi il ne devait pas accéder à sa requête. Seul problème ? Par où commencer ? Il fit la moue un instant, réfléchissant. Il parcourut le haut de son corps des yeux, s’interrogeant. Malheureusement, à commencer par la mauvaise question, il en aboutit à la mauvaise conclusion. Su Hee, à force de le menacer, venait de lui faire croire qu’il était plein d’intentions plus louches les unes que les autres, le poussant ainsi à penser que l’emplacement de la goutte était des plus sadiques. Pour cette raison, Dong Soo s’attarda plus que de raison sur le bas de ce ventre imberbe, un léger duvet de poils menant à un endroit auquel il ne préférait pas songer. Il plissa imperceptiblement les paupières, se penchant vers ce nombril qui lui faisait de l’œil depuis un moment déjà. Les mains de part et d’autre de la taille de Su Hee, le jaune sortit timidement le bout de sa langue, se décidant à lécher ce petit bout de peau qui lui tendait les bras. Ah. Cela ne semblait pas bien compliqué au final. Encouragé par ce constat, Dong Soo continua, presque avec bonne humeur. Presque. Sa langue parcourait le ventre de Su Hee, convaincue d’y rencontrer un goût de vanille, tôt ou tard. Mais rien ne venait. L’organe charnu et mobile qui se trouvait au creux de ses lèvres s’amusait de découvrir la peau du turquoise, s’habituant presque inconsciemment à la douceur qu’elle y rencontrait. Sans s’en rendre compte, le yongwang perdait de vue son objectif de vengeance, cherchant de manière tout aussi instinctive à faire plaisir à son homologue. Pour cette raison, sa main s’était glissée dans le dos du yunikon, la langue de Dong Soo rencontrant les tétons de Su Hee, qu’il s’amusa à titiller, retrouvant quelque peu ses désirs de jeu et d’amusement, qui ne plairait peut-être pas à Su Hee. Abandonnant les deux boutons de chair, Dong Soo s’aventura dans le cou du turquoise, sa main quittant son dos pour se nicher dans sa nuque. Il y allait lentement et consciencieusement, désireux de bien faire les choses, de se rattraper pour sa peur passée. Il n’avait jamais voulu faire de mal au yunikon alors autant essayer de lui faire un peu plaisir, dans ce malheur commun.Tout cela était bien beau, mais aucune goutte de vanille ne venait à lui. Ne lui restait plus alors que trois choix : son visage ou ses deux bras. Dans son idiotie, Dong Soo parvint encore à éliminer le visage de Su Hee, jugeant que celui-ci ne désirait certainement pas se faire lécher le visage. Par un hasard bienvenu, il choisit de se diriger vers son bras droit. Ses mains glissaient en même temps que sa langue, ses doigts frôlant à peine la peau de Su Hee, la caressant d’une manière douce et aérienne. Puis, presque avec surprise, il sentit quelque chose d’humide rencontrer sa langue, alors qu’il léchait avec délicatesse le poignet de Su Hee. Plus jeune, il se souvenait avoir goutté de l’essence de vanille. Son odeur sucrée l’avait alléchée, et convaincu de goûter une essence similaire à de la glace, il l’avait mise dans sa bouche. Cela lui arracha une grimace car, loin d’être aussi douce que de la glace, l’essence de vanille avait un goût amer et peu savoureux. Dong Soo aurait pensé rencontrer le même goût, mais non. Une saveur sucrée s’était emparée de ses sens, et ce ne fut que quelques secondes plus tard, après être descendu vers la main de Su Hee, que Dong Soo se rendit compte qu’il avait déjà trouvé la goutte de vanille. Il écarquilla les yeux, sidéré par son propre comportement et se releva, sans plus de cérémonie. Il s’éclaircit la gorge, désireux de redescendre sur Terre, et se retourna vers la porte.« J’espère que tu es content maintenant, nous ne serons plus obligés de rester coincés ici jusqu’à la fin de nos jours, enivrés par je ne sais quelle folie qui t’aurais poussé à m’attacher aux montants du lit. » Dong Soo soupira encore, et posa sa main contre la poignée, mais ne l’actionna pas. Que venait-il de se passer ? Su Hee était comme l’essence de vanille. Une odeur sucrée et alléchante, mais au final, tout ce qu’il était, ce n’était qu’amertume.